Tout 
et son contraire en République Centrafricaine ! 
Le 
peuple continu de subir, la volonté de la communauté internationale décriée. Ou 
va t'on quand on ait arrivé à une telle meurtrissure morale ? 
Les 
prêcheurs pouvaient ignorer son 
risque, 
la reconnaissance ou la peur pouvait lui commander des sacrifices, et la loi 
générale. Trouble dans  un cas 
particulier, les prêcheurs devaient reprendre tout 
son 
empire du moment que les causes de perturbation auraient cessé d'agir. 
Enfin ! 
 Combien peu de faits particuliers 
sont complètement avérés ! Combien peu d’entre eux sont observés avec 
toutes leurs circonstances en Centrafrique ! Et, en les supposant bien 
avérés, bien observés et bien décrits !  Combien n’y en a-t-il pas qui ne prouvent 
rien, ou qui prouvent le contraire de ce qu’on veut établir ? Par ailleurs, 
aussi n’y en a-t-il d’option extravagante qui n’ait été appuyée sur des 
faits ? Et c’est avec des faits qu’on a souvent égaré l’autorité de l’État, 
l’autorité publique. La connaissance des faits, sans la connaissance des 
rapports qui les lient, n’est que le savoir non digéré des anciens gouvernants, 
d'autant plus que, ceux actuellement les gouvernants  les plus instruits ne connaissent guère 
complètement qu’une série de fait, ce qui ne les permettent d’envisager les 
questions que d’un seul côté. Les constats, les diagnostiques sont 
incontestable. Qui  a un goût bien 
évidement très amère pour le peuple Centrafricain.  Dans les émotions, la colère souvent, je 
me mets à écrire pour m’exprimer, directement sans y aller par quatre chemins, 
parce que j’aime mon Pays, tout le peuple Centrafricain son lié comme  des parents, Frères, sœurs, enfants, 
sans distinction, avec discernement d’autant, de races, d’ethnies, de religions. 
C’est un peuple qui a tout perdu dans le sens propre des thermes (son humanité, 
son sens de fraternité, la responsabilité, l’effort pour bâtir son avenir 
…etc.). Je ne parle pas de sacrifice, puisque c’est un peuple par les dictats 
des politiques, des mercenaires rebelles sont déjà sacrifier … ! PEUPLE DE 
CENTRAFRIQUE DEBOUT, UNISSEZ  VOUS, 
AFIN DE COMBATTRE  LES MALS QUI VOUS 
ENVAHIES 
C’est 
une opposition bien vaine que celle de la théorie et de la pratique ! 
Qu’est-ce donc que la théorie, sinon la connaissance des lois qui lient les 
effets aux causes, c’est-à-dire, des faits à des faits ? Qui est ce qui 
connait mieux les faits que les théoriciens qui les connaissent sous toutes 
leurs facettes, et qu’ils savent les rapportés… ! Et qu’est-ce que la 
pratique sans la théorie ?!  C’est-à-dire, l’emploi des moyens sans 
savoir comment ni pourquoi ils agissent ? Ce n’est qu’un empirisme 
dangereux, par lequel on applique les mêmes méthodes à des cas opposés qu’on 
croit semblables, et par où on voulait  aller (Négocier avec un homme qui a les 
armées dans les mains, c’est prêchés dans le vide), la puissance du feu c’est 
lui qui là ! ne dit-on pas qu’il faut combattre le mal par le 
mal ?
 La tragédie que subisse le peuple 
Centrafricain est indéfinissable, indescriptible, invraisemblable, pourtant la 
communauté internationale présente  qui souffle une démarche de 
solutionnement de cette crise Centrafricaine, de l’immédiabiliter de toutes les 
situations gangrènantes en Centrafrique baptisé les Rebelles « factions 
armées non conventionnelle » essaie d’apporter une réparation sécuritaire 
disparate. Par ailleurs aider à la remise de l’ordre constitutionnelle, que 
seulement là pour accompagner les gouvernants au vue d’une  restauration de l’autorité de l’État, de 
l’administration dans sa mission régalienne qu’opérationnelle. Malheureusement 
l’attentiste et le statu quo, gagne le mode de la gouvernance, et dans 
l’opposition politique, mais le bateau coule. Visiblement une indifférence 
patente de la souffrance des Centrafricains.
C’est 
ainsi qu’après avoir vu le système exclusif en matière de la gouvernance 
(c’est-à-dire, l’opinion qu’une Nation ne peut gagner que ce qu’une autre perd), 
interrogeant nous réellement de l’efficacité, de la volonté à la matière. 
Prenant model, adoptant l’exemple de la renaissance des arts et des lumières de 
l’Europe, sur le développement de leur continent, le développement humaine pour 
son épanouissement dans des différents domaines. Soit la sécurisation et, 
l’intégration territoriale, l’émancipation et l’éducation,  commerce et développement de l’économie 
…etc.  Il faut donc, pour parvenir à 
la vérité, connaitre, non beaucoup de faits, mais les faits essentiels et 
véritablement influents, les envisager sous toutes leurs facettes, et surtout en 
tirer des conséquences justes, être assuré que l’effet qu’on leur attribue vient 
réellement d’eux, et non d’ailleurs. Toute autre connaissance de faits est un 
amas d’où il ne résulte rien, une érudition d’a-panache. Et remarquez que ceux 
qui possèdent ce mince avantage, qui ont une mémoire nette et un jugement 
obscur, qui déclament contre les doctrines les plus insolites, fruits d’une 
vaste expérience, d’un raisonnement sur. Qui crient au système chaque fois qu’on 
sort de leur routine, sont précisément ceux qui ont le plus de systèmes, qui les 
soutiennent avec l’opiniâtreté de la sottise, c’est-à-dire, avec la crainte 
d’être convaincus, plutôt qu’avec le désir d’arriver à la vraie problématique. 
Par 
ailleurs pourquoi les dirigeants et le peuple Centrafricain ne profite presque 
jamais des leçons de l’expérience du passé ? Pour profiter, il faudrait que 
la clairvoyance, fût en état de saisir la liaison des causes et des effets, ce 
qui suppose un très-haut degré de lumières, une grande capacité de réflexion, 
d’observation, avoir une vision. Les dirigeants Rwandais et le peuple Rwandais, 
on fait  preuve de la volonté de 
sortir de l’obscurité…etc. Par rapport de tous les faits assombrissant de leur 
histoire.
Lorsque 
la  Nation Centrafricaine serait en 
état de profiter de l’expérience quelconque, le simple bon sens leur suffirait 
d’avancer. C’est une des raisons qui les mettent dans la nécessité d’être 
constamment dirigées par le premier vendeur de soupe, qui les promettes le monde 
et les merveilles. Sans oublier, juste, on les sollicite pour une sacre 
personnel et assouvir à leur propre cause égoïste. Aux soit disant les 
politiques un contrat d’entre-loupe : un pacte Républicain, n’exclut pas 
l’opposition politique.  La Nation Centrafricaine, tout ce 
qu’elle peut désirer, c’est que leurs lois soit faite (la sécurisation de leur 
vie, l’intégrité territoriale, se soigner, s’éduquer, se loger, se nourrir…etc.) 
exécutées dans le sens de l’intérêt général. Tel est le problème que les 
différents constituants politiques résolvent plus ou moins imparfaitement, dû 
aux incompétences notoires. Je suis encore à nouveau contrarier. En désarrois 
pour les faits tragiques dans la région de la Ouaka et Haute-Kotto, 
Basse-Kotto.
Urgence !!!  Il 
est temps de cesser de théoriser et opter pour des actions plus pragmatiques, 
que pratiques pour les intérêts de la Nation, avec des gens compétents, 
expérimentés, intègres, courageux.
Fait, 
à Lyon 15/05/20017
Diaspora, 
Monsieur 
Aubin-Roger KOMOTO